Entretien avec : M. Mohamed Abbou, ministre auprès du chef du gouvernement, chargé de la Réforme administrative
Pour une administration qui respecte la loi, l’égalité entre les citoyens et l’égalité des chances
Pouvez-vous nous parler de vos attributions précises, surtout après l’aplanissement des différends les concernant et le compromis trouvé par la Troïka ?
On s’est mis d’accord sur une appellation précise et des attributions précises qui sont en premier lieu la réforme administrative, la conception de la réforme administrative, c’est-à-dire tout ce qui a trait à l’amélioration des services administratifs, la simplification des procédures administratives, l’amélioration de la relation entre les citoyens et l’administration électronique.
Mes attributions concernent en deuxième lieu la Fonction publique et les ordres de mission aux organes de contrôle des services publics et la coordination entre toutes les administrations concernant la réforme administrative.
Il faut dire qu’on ne repart pas de zéro, car il y a eu du travail accompli pendant des décennies dans le pays. Quand on parle, par exemple, de l’allègement des procédures administratives et de l’administration électronique, il faut dire que c’est un travail qui a déjà été entamé. Notre rôle, c’est de l’améliorer, surtout qu’avec l’ouverture politique actuelle, nous pouvons nous permettre d’avancer plus rapidement que sous la dictature.
On s’est mis d’accord sur une appellation précise et des attributions précises qui sont en premier lieu la réforme administrative, la conception de la réforme administrative, c’est-à-dire tout ce qui a trait à l’amélioration des services administratifs, la simplification des procédures administratives, l’amélioration de la relation entre les citoyens et l’administration électronique.
Mes attributions concernent en deuxième lieu la Fonction publique et les ordres de mission aux organes de contrôle des services publics et la coordination entre toutes les administrations concernant la réforme administrative.
Il faut dire qu’on ne repart pas de zéro, car il y a eu du travail accompli pendant des décennies dans le pays. Quand on parle, par exemple, de l’allègement des procédures administratives et de l’administration électronique, il faut dire que c’est un travail qui a déjà été entamé. Notre rôle, c’est de l’améliorer, surtout qu’avec l’ouverture politique actuelle, nous pouvons nous permettre d’avancer plus rapidement que sous la dictature.